Ce terme est employé pour une construction qui est quasi autonomne pour ses besoins en chauffage. Elle utilise les apports gratuits (solaires, métaboliques, d'équipements...) et présente une bonne isolation, le chauffage devenant simple appoint.
Bâtiment qui produit plus d'énergie qu'il n'en consomme. Il pourra être caractérisé par un futur label dit BEPOS.
Bâtiment dit "Zéro Énergie Net" c'est à dire concommant autant d'énergie qu'il en produit. Sa consommation doit être très faible.
La conception bioclimatique d'un bâtiment vise à optimiser l'utilisation des apports solaires et de la circulation naturelle de l'air, limitant ainsi le recours au chauffage et à la climatisation. Elle valorise les avantages du terrain (orientation du bâtiment), l'orientation des pièces, les surfaces vitrées, l'inertie du bâtiment.
Système qui permet d'utiliser l'énergie contenue dans le sol et le sous-sol comme source de chaleur pour servir de chauffage. On distingue la géothermie superficielle, semi-profonde et profonde. En moyenne, la température du sous-sol s'élève de 3°C par 100 mètres de profondeur.
Mur recouvert de végetaux jouant un rôle thermique et hydrique.
Panneau composé de cellules, à base de silicium, qui permettent de transformer l'énergie solaire en énergie electrique.
Système qui permet, suivant une source d'énergie donnée, de produire de la chaleur ou du froid. Il existe plusieurs types de PAC suivant la source et le mode de restitution de l'énergie (air/air, air/eau, eau/eau).
Système de préchauffage l'hiver et de rafraîchissement l'été utilisant l'air qui passe dans un système de canalisations, bien dimensionnées, entérrées à environ 1.50m dans le sol. Il est généralement couplé à une VMC double flux.
Le principe est d'utiliser l'énergie stockée dans l'air vicié (flux sortant) pour réchauffer l'air neuf (flux entrant). Cette technique permet de préchauffer l'air intérieur des bâtiments diminuant ainsi le besoin en chauffage.